Démarrer votre projet de construction avec un CCMI : Ce que vous devez savoir
L’obtention de votre permis de construire marque le début excitant de votre projet de maison. Découvrez les étapes clés de la construction, de l’inauguration du chantier à la remise des clés.
Vous avez franchi une étape importante en signant un contrat de construction de maison individuelle (CCMI). Avec le permis de construire en main et les délais de recours expirés, les travaux sont prêts à commencer.
Le démarrage du chantier lance une série d’étapes cruciales, allant du creusement des fondations à la finalisation de la construction, culminant avec la livraison de votre maison.
Les paiements seront échelonnés en fonction de l’avancement des travaux.
Cela soulève plusieurs questions importantes : est-il possible de visiter le chantier ?
Que faire en cas de travaux additionnels nécessaires, de non-conformités ou de retards ?
Comment se déroule la réception de votre maison neuve ?
Les dates clés de la construction
En optant pour un CCMI, conforme à la loi de 1990, vous bénéficiez d’une garantie de livraison à un prix et dans des délais convenus. La date limite pour l’achèvement des travaux est clairement définie dans votre contrat, engageant le constructeur à respecter cette échéance.
📆 Période de Réflexion
Il est important de noter que le constructeur ne peut pas débuter immédiatement les travaux après la signature du contrat. Vous disposez d’un délai de rétractation de dix jours pour reconsidérer votre décision. Par ailleurs, certaines formalités administratives doivent être accomplies avant de commencer les travaux, telles que l’obtention des financements nécessaires et le permis de construire.
L’importance de l’assurance dommages-ouvrage dans un CCMI
Lorsque vous concluez un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI), l’obtention de l’assurance dommages-ouvrage, ainsi que des prêts et du permis de construire, sont des conditions suspensives essentielles. Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le CCMI devient nul et le constructeur est tenu de vous rembourser les sommes versées à la signature. Il est important que ces conditions soient remplies dans un délai spécifié dans le contrat.
Obtenir le permis de construire
Le délai standard pour obtenir un permis de construire est généralement de deux mois, pouvant s’étendre à trois mois dans les zones classées. En ce qui concerne le financement, un seul refus de prêt est suffisant pour activer la condition suspensive. Pour ce qui est de l’assurance dommages-ouvrage, elle est souvent incluse dans le CCMI par les constructeurs. Cette assurance est obligatoire et assure une indemnisation rapide en cas de problèmes majeurs sur le chantier, permettant ensuite à l’assureur de se retourner contre le responsable.
Le démarrage du chantier : Une étape importante
L’ouverture du chantier représente une date clé dans votre contrat de construction. Cette étape tient compte du délai pendant lequel le permis de construire est susceptible de contestation. Le constructeur attendra la fin de ce délai pour débuter les travaux, afin de s’assurer que le permis ne fait pas l’objet d’un recours de tiers. Le permis doit être affiché en mairie et sur le terrain, avec un délai de recours de deux mois suivant la date d’affichage la plus tardive. L’ouverture effective du chantier est signalée par la Déclaration d’ouverture de chantier (DOC), effectuée par le constructeur auprès de la mairie. Après cette formalité, les travaux doivent commencer.
La garantie de livraison : Votre sécurité
Si la déclaration d’ouverture de chantier n’a pas été réalisée, vous pouvez activer la garantie de remboursement. Le garant spécifié dans le contrat vous remboursera alors les 5% versés à la signature du contrat. Si le chantier ne démarre pas malgré la déclaration en mairie, la garantie de remboursement ne s’applique plus, et il faudra alors recourir à la garantie de livraison. Dans ce cas, le garant désignera une entreprise pour réaliser les travaux. Quoi qu’il en soit, votre maison sera construite, conformément aux assurances du CCMI.
Comprendre la garantie de remboursement
Cette garantie, fournie par un organisme tiers (banque ou assurance), assure le remboursement des sommes versées dans trois cas :
- Si vous vous rétractez dans les dix jours.
- Si une condition suspensive (prêt, permis) n’est pas remplie dans les délais prévus.
- Si le chantier n’est pas ouvert à la date convenue.
Avec cette garantie, le constructeur peut demander 5 % du prix à la signature, 5 % à l’obtention du permis, et 5 % à l’ouverture du chantier, soit un total de 15 % à cette date. Il est important de noter que cette garantie n’est pas systématiquement obligatoire. Sans cette garantie, les 15 % sont versés directement à l’ouverture du chantier. Dans certains cas, il est possible de ne verser que 3 % à la signature comme dépôt de garantie, qui sera ensuite déduit du premier versement.
Suivre la construction de votre maison : Vos droits et devoirs
Surveiller les travaux de construction de votre maison est essentiel, mais il est important de comprendre que l’accès au chantier est réglementé. Bien que propriétaire, votre capacité à visiter le chantier est parfois limitée, ce qui peut sembler contre-intuitif. Voici un aperçu de vos droits et obligations.
Accès réglementé au chantier
Durant la construction, votre accès au chantier est conditionné par les termes du contrat. Tant que la réception de la maison n’est pas effectuée, vous n’en avez pas la responsabilité légale. Le constructeur reste en charge et responsable du chantier, limitant ainsi votre accès libre.
Visites avant chaque appel de fonds
Il est cependant raisonnable de vouloir vérifier l’avancement des travaux avant chaque appel de fonds. Par exemple, avant de verser les 15 % du prix correspondant à l’achèvement des murs, vous pouvez souhaiter constater l’état d’avancement. Des visites de chantier sont donc prévues avant chaque échéance de paiement.
Organiser des réunions de chantier
Pour visiter le chantier hors de ces rendez-vous planifiés, il est conseillé de solliciter une réunion de chantier avec votre constructeur. Souvent, le contrat prévoit un calendrier de visites supplémentaires en plus de celles liées aux appels de fonds. N’hésitez pas à aborder ce point avec le constructeur pour clarifier les possibilités de visite.
Gestion des travaux réservés
Les travaux que vous choisissez d’effectuer vous-même sont considérés comme des « travaux réservés ». Ceux-ci doivent être clairement décrits et chiffrés dès le début dans le contrat de construction. Le prix total indiqué dans le CCMI doit inclure le coût de ces travaux. Vous disposez de quatre mois après la signature du contrat pour décider de confier ces travaux au constructeur sans modifier le prix ni les délais de livraison initialement prévus. Au-delà de ce délai, toute modification nécessitera une négociation des prix et des délais avec le constructeur.
Selon le Contrat de Construction d’une Maison Individuelle (CCMI), datant de la loi de 1990, les paiements s’effectuent de manière échelonnée, en fonction de l’avancement des travaux. Que le constructeur ait ou non une garantie de remboursement, vous aurez déjà versé 15 % du prix total à l’ouverture du chantier, soit en une fois, soit en plusieurs versements.
💰 Échéancier des versements
Les paiements suivent un calendrier défini dans le contrat :
- 10 % du prix à l’achèvement des fondations, pour un total de 25 % ;
- 15 % à l’achèvement des murs, pour un total de 40 % ;
- 20 % à la mise hors d’eau (murs et toiture achevés), pour un total de 60 % ;
- 15 % à l’achèvement des cloisons et à la mise hors d’air (pose des portes et fenêtres), pour un total de 75 % ;
- 20 % à l’achèvement des équipements, de la plomberie et du chauffage, pour un total de 95 % ;
- les 5 % restants sont versés à la réception de la maison ou à la levée des réserves éventuelles.
Cas particulier des maisons modulaires
Pour les maisons modulaires, dont les éléments sont préfabriqués puis assemblés sur le chantier, l’échéancier de paiement diffère :
- 20 % du prix à l’étape des fondations ;
- 25 % à l’achèvement des fondations ;
- 50 % à l’achèvement des éléments préfabriqués ;
- 75 % à la mise hors d’eau/hors d’air et à la pose des cloisons ;
- 95 % à la fin des travaux d’équipement, de chauffage, de menuiseries et d’enduits extérieurs ;
- et enfin, les 5 % restants sont payés à la réception ou à la levée des éventuelles réserves.
Gestion des appels de fonds
À chaque étape, le constructeur vous enverra un appel de fonds. Vous devrez alors donner votre accord écrit pour le versement des sommes et fournir la facture à votre banque, qui effectuera le paiement. Attention : des pénalités de retard, ne dépassant pas 1 % par mois des sommes dues, peuvent être appliquées si le paiement n’est pas effectué dans les temps.
Gestion des problèmes durant la construction
Une fois le chantier lancé, la garantie de livraison assure que votre maison sera construite dans les délais et au prix convenus. En cas de problème, vous avez un interlocuteur : une banque ou une compagnie d’assurance.
Gérer les malfaçons et les défauts de conformité
La législation encadre les risques de malfaçons et de non-conformités grâce à des garanties spécifiques. Cependant, ces garanties (parfait achèvement, bon fonctionnement, garantie décennale) ne s’appliquent qu’après la réception des travaux.
Action en cours de construction
Si vous constatez un défaut durant la construction, informez d’abord le conducteur de travaux. En cas de non-réaction, établissez un constat d’huissier et envoyez une mise en demeure par lettre recommandée.
Faut-il attendre la réception ?
Si ces démarches n’aboutissent pas, vous pourriez attendre la réception pour signaler ces problèmes. Cependant, certains désordres peuvent nécessiter une action immédiate. Dans ce cas, il est conseillé de saisir le tribunal pour la nomination d’un expert et, si nécessaire, l’arrêt du chantier. Le tribunal pourra alors ordonner au constructeur de réaliser les travaux correctifs.
Prévenir le garant
Un tel incident entraînant un retard, le garant devra assumer les pénalités correspondantes et pourrait intervenir pour résoudre rapidement le problème. En cas de défaillance du constructeur, le garant peut désigner une autre entreprise pour terminer les travaux. Pour des désordres graves, une résiliation du contrat peut être demandée au tribunal, et l’assurance dommages-ouvrage couvrira les réparations nécessaires.
Gestion des retards de travaux
Les retards peuvent être justifiés par des intempéries anormales ou des cas de force majeure. Cependant, les retards non justifiés entraînent des pénalités à la livraison, fixées à minima à 1/3000ème du prix par jour de retard, à la charge du garant.
Que faire en cas d’arrêt du chantier ?
Si le chantier subit un arrêt, mettez le constructeur en demeure d’exécuter ses engagements. Sans réponse, adressez une lettre recommandée au garant pour qu’il désigne une autre entreprise pour achever les travaux. Notez que le constructeur peut suspendre le chantier si les appels de fonds ne sont pas honorés.
Gérer les Travaux imprévus : Solutions et conseils
Lorsque vous signez un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI), le prix mentionné est fixe et définitif. Cette mesure, cruciale pour la protection de l’acquéreur, encadre la gestion des travaux non prévus initialement. Néanmoins, il existe des situations où un supplément de prix peut être envisagé.
Problèmes liés au sol et construction
Le prix fixé dans le CCMI inclut l’ensemble des coûts de construction, y compris les adaptations nécessaires au sol, les raccordements aux réseaux, et les aménagements internes et externes. Une fois le contrat signé, le constructeur ne peut pas demander de supplément pour des travaux supplémentaires liés au sol. Il est tenu de couvrir ces coûts.
Pour prévenir les problèmes de fondation et d’adaptation au terrain, envisagez de réaliser une étude de sol en amont et de la fournir au constructeur lors de la négociation du contrat. Depuis la loi Elan de novembre 2018, les vendeurs de terrains en zones argileuses doivent fournir une étude de sol, une obligation effective depuis le 1er octobre 2020.
Travaux découlant du permis de construire
Le CCMI est conditionné à l’obtention du permis de construire, qui peut imposer certaines prescriptions, comme la forme des fenêtres en accord avec le Plan Local d’Urbanisme. Si ces modifications sont limitées, elles doivent être acceptées et prises en charge par le constructeur. En revanche, pour des modifications importantes, vous n’êtes pas obligé de les accepter. Dans ce cas, le permis est considéré comme non obtenu et le projet peut être annulé.
Demandes de travaux supplémentaires
Si vous souhaitez apporter des modifications ou ajouter des travaux en cours de construction, ces demandes doivent être négociées avec le constructeur en termes de faisabilité, coût et délais. Un accord mènera à un avenant au contrat. Financièrement, ces travaux supplémentaires seront à votre charge s’ils n’étaient pas inclus dans le contrat initial.
Avant de modifier votre projet, réfléchissez soigneusement et sachez que des demandes répétées peuvent engendrer des conflits. Il est également important de ne pas donner directement d’instructions aux ouvriers sur le chantier.
Réception de la maison : Le processus expliqué
La phase finale de la construction est marquée par la réception de votre maison, moment où le constructeur vous remet les clés. Juridiquement, cela signifie que la responsabilité de l’ouvrage vous est transférée et vous devenez responsable de votre maison, nécessitant une assurance appropriée.
Quand réceptionner la maison ?
La réception devrait idéalement avoir lieu à la date limite prévue dans le contrat. Pour être recevable, la maison doit être habitable, même si elle n’est pas exempte de tous défauts ou n’a pas toutes les finitions complètes. Le constructeur est généralement celui qui fixe le rendez-vous de réception. Notez que les travaux que vous effectuez vous-même sont réceptionnés directement avec l’entrepreneur concerné.
Déroulement de la réception
La réception implique votre acceptation de la construction, mais vous pouvez émettre des réserves si des défauts ou vices sont constatés. Un procès-verbal de réception sera établi, y compris une section pour les réserves, où vous indiquerez les problèmes rencontrés et les délais prévus pour les résoudre.
Réceptionner seul ou accompagné ?
Vous pouvez réceptionner votre maison seul ou assisté par un professionnel (tel qu’un expert en bâtiment). Si vous réceptionnez seul, un délai de huit jours est accordé pour signaler d’autres réserves par lettre recommandée. Cette option n’est pas disponible si vous êtes assisté par un professionnel lors de la réception.
Paiement du solde
✅ Vous devez payer le solde si la maison est en parfait état. En cas de réserves majeures, il est possible de consigner une partie des 5 % restants auprès d’un tiers désigné dans le contrat (comme un notaire).
La levée des réserves
Le constructeur ne peut refuser de vous remettre les clés si vous ne payez pas le solde. Si cela se produit, la réception n’est pas valide. Il peut vous proposer de reporter le rendez-vous pour corriger les problèmes identifiés. Après correction et si tout est en ordre, la réception se fait sans réserve et vous devez alors régler les 5 % restants. De plus, il est courant de procéder à des pré-réceptions pour vérifier et corriger les problèmes avant la réception officielle.
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La visite des fondations
La visite des fondations dans le cadre d’un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) représente un moment décisif pour garantir la robustesse et la longévité du bâtiment.
Cette étape permet de vérifier la préparation adéquate du terrain, l’armature et la conformité des fondations avec les plans définis. Elle est essentielle pour confirmer que les fondations sont correctement réalisées avant le coulage du béton, un élément clé pour assurer la stabilité globale de la maison.
La visite gros œuvre CCMI
L’avancement de votre projet en CCMI atteint un jalon crucial avec la visite du gros œuvre. Cette phase, comprenant l’achèvement de la toiture, assure que la maison est désormais « hors d’eau », c’est-à-dire protégée des intempéries. L’inspection à ce stade est fondamentale, car elle permet de repérer d’éventuels défauts majeurs.
Un expert en construction effectue un examen approfondi de la structure. Étant donné que le gros œuvre représente une part significative du budget total, cette vérification méticuleuse est indispensable pour détecter et rectifier toute anomalie. Il est particulièrement conseillé de vérifier soigneusement la toiture lors de cette visite, ce qui permet d’apporter les corrections nécessaires avant la finalisation des travaux.
La visite cloisons CCMI
Votre projet de construction entre dans sa troisième phase critique avec la visite des cloisons dans le cadre du CCMI. À ce stade, les cloisons sont posées et l’installation électrique est en cours, bien que les travaux de finition tels que la peinture ou les revêtements de sol ne soient pas encore réalisés.
L’examen à ce moment se concentre sur la vérification de la disposition correcte des cloisons, l’installation électrique (y compris les interrupteurs, les prises et l’éclairage), l’efficacité de l’isolation, la pose adéquate des éléments de menuiserie et la conformité de la toiture.
Cette expertise est essentielle pour s’assurer que tout est réalisé selon les normes techniques en vigueur et les règles de construction.
La visite chape CCMI
La visite de la chape dans le contexte d’un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) représente une des étapes finales avant la pré-réception du chantier.
Cette inspection joue un rôle vital dans la prévention des problèmes futurs qui pourraient affecter le carrelage, tels que le décollement, le descellement, le soulèvement ou encore la fissuration. Il s’agit d’un moment clé pour s’assurer de la qualité et de la durabilité des finitions de votre maison.
La pré-réception CCMI
La visite de pré-réception dans le cadre d’un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) signale la phase finale des finitions de votre maison.
Cette étape cruciale offre la chance de vérifier que tout est conforme et en ordre avant la réception officielle. Durant cette visite, un expert procède à un examen détaillé de tous les travaux réalisés, offrant l’opportunité d’identifier et de rectifier la plupart des anomalies avant la remise définitive des clés. Cette inspection préliminaire se déroule habituellement environ un mois avant la réception finale.
La réception CCMI
La réception dans le cadre d’un Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI) symbolise la finalisation de votre maison. Invité par votre constructeur pour cette étape significative, qui inclut la remise des clés, l’importance de cette phase ne peut être sous-estimée.
Un expert réalise une inspection minutieuse, effectue un contrôle de conformité final et établit le procès-verbal de réception. Vous avez la possibilité d’être accompagné par cet expert pour assurer la qualité et la conformité des travaux, et pour émettre des réserves si nécessaire. Il est important de noter que si vous faites appel à un expert durant la réception, le délai de huit jours habituellement accordé pour formuler des réserves est supprimé. Nous recommandons fortement de procéder à une inspection supplémentaire par notre expert immédiatement après la remise des clés pour une évaluation post-réception complète.
Engager notre expert représente certes un investissement, mais le coût de la réception d’une maison avec de multiples malfaçons peut s’avérer bien plus onéreux en raison des frais de justice et d’avocat. La construction d’une maison peut être source d’anxiété et de stress, exacerbée par une communication parfois insuffisante de la part du constructeur et la tendance à minimiser les problèmes.
Avoir un accompagnement, des conseils et des informations tout au long de votre projet de construction est devenu indispensable, surtout face à l’augmentation des cas de constructions problématiques en France ces dernières années.
Mon conseil : anticipez ces frais en les intégrant dans votre budget de prêt.